Le message est arrivé six ou sept heures postérieurement. Il ne contenait pas beaucoup de lignes. Mais il disait ce qu’il fallait. Pas ce que j’attendais. Ce que je n’arrivais pas à me présenter. Une phrase m’a frappé. Pas violente. Juste exacte. Elle m’a stoppé. Puis elle m’a recentré. Je https://sergiovgnsw.blogoxo.com/36407881/quand-peu-de-mots-suffisent-à-ouvrir-une-voie