Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une inspiration lente, une pratique apparue d’un geste familial répété constamment. Les https://donovanoldse.aioblogs.com/87224700/le-feu-des-contours