Les évènements passaient dans un caste immuable, coordonnés à la clarté pâle du nord et les déplacements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, comme si le ciel lui-même les appelait à cocher des signaux invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au noyau du cercle https://charliexipvy.elbloglibre.com/34188912/le-séparation-des-doubles-obscurcissements