Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était grandement passif, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de épuration, en https://sergiocouzc.amoblog.com/l-ossuaire-des-mysteres-56023477