Le carnet du soldat, dès maintenant noirci de notes fiévreuses, reposait à proximité de la radio. Il avait passé la nuit à rallier une faille dans le message logé, à démonter mentalement tout élément de la contagion. Le prénom sûr était le sien, chronique d’un code qu’il avait noté sur https://gregorynxdil.bloggazza.com/32931597/le-nombre-froid