Dans l’atelier feutré de Londres, l’horlogère ajusta les rouages éclatants d’une chemise de série. Autour d’elle, des dizaines de mécanismes en sommeil attendaient d’être réparés, des fragments du temps figés dans leur écrin d’acier et d’or. Elle avait l’habitude des engrenages capricieux, des aiguilles récalcitrantes, des ressorts usés par le https://laneedavq.tribunablog.com/les-heures-qui-touchent-48184825