Le silence pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les main crispées sur le rebord https://fernandojsycg.blogsuperapp.com/34365824/le-écrit-des-âmes-errantes