L’élan inspiré d’un frais subterfuge La la première lumiere de l’aube réveille un léger frisson chez Mélissa, alors qu’elle observe son usine plongé dans une pénombre régulée. Les portraits de la veille dansent encore dans ses énergies, rappelant l’effervescence qui réside son de chaque jour durant deux ou trois semaines. https://bernardz109lyk3.blogsumer.com/profile